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MamZellePapillon

17 juin 2007

Pfff paumée la Mam'zelle

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Et me revoilà encore sur un énième blog. Non je n'en fais pas la collection. Mais sur sky trop de mauvaises langues quand à papilllon, aussi furtif que cette magie qui m'a avait envahie. Celui ci sera sans doute le bon. Je l'éspère ... Alors voilà que je vous raconte. Jeudi 12 h 00 j'étais sur le lieu de rdv ... Pas de nouvelles, bonnes nouvelles ? oui comme toujours ^^ Finallement on se rejoint sur le parking de carrefour. Je descend de la voiture c'est lui au loin que j'aperçois, mon coeur s'accélère mais pas plus que ça, étrange je trouve. Nous voilà l'un en face de l'autre sourire bisous ... Déjà une sensation bizarre ! "tu as fais bonne route ? on fait quoi ? tu veux mangé où ?" Pour changer c'est moi qui prends la décision sous pretexe qu'il ne connait pas la ville. Oki mais bon j'lui propose différentes choses aucune prise de décision ! niarfff déjà ca commence a me titiller ... Bref nous voilà donc mains dans la mains partis en direction du centre ville. Mam'zelle rentre dans LA boutique de chaussures et hop hop hop directe coup de coeur :s arfff le porte monnaie ... Il se propose d'acheter la 2eme paires sur laquelle j'ai aussi craquée eee ... c'est pas un milliardaire ...

BOn et bien la CB plus légère nous voilà partis pour manger ! ! ! on discute de choses et d'autres ... à la fin du repas j'ai mal à la gorge et impossible de manger mon dessert ça passait pas bizarre pour la gourmande de base ! Bref ... après ce déjeuner on reprend le tour de 2 - 3 boutiques lorsqu'on entre dans une où il essaye un pantalon ... et là je me sentais mal, très mal toute cottoneuse ... je ne dis mot ! Et il était là ca va ? j'essaye l'autre taille ? qu'est ce que je fais ? t'aime bien ? et moi intérieurement j'me disais allez décide toi qu'on sorte d'ici ... Nous voilà dehors après que j'ai eu chaud - froid - chaud dans la boutique dehors je deviens blanche comme un linge la tête qui tourne légèrement ... Ca va pas fort ! Je rentre plus tôt chez moi, je prend ma température 39 aie aie aie !!!! LE soir je le rejoint ! Et là comme pour le restant de la journée son discours c'est restrinct à t'es magnifique, t'es vraiment sublime, ca faisait longtemp que j'avais pas ressentit ça, tu m'a énormement manqué, en tout cas j'voulais t'dire que ... ba ... tu m'as beaucoup manqué et que j'suis vraiment content d'être là ... et ceci comme un disque rayé qu ise repasse et repasse sans cesse . Un discour qui parfois ne tien même pas la route (confère la derniere phrase). Alors je ne disais rien, j'étais mal fiévreuse, fatiguée mais avec lui ! A fermer les yeux et lui a ne pas cesser de parler ... Pour me répéter les mêmes choses où alors me demander ce que je pensais. JE ne pense rien, je n'ai pas envie de penser... La vérité me ferait elle peur ? Première journée que nous passions ensemble, on ne se connait pas finallement ... et il me dit m'aimer, alors oui j'aime pas ça [pourtant on attends toutes ça, mais pas comme ça, pas maintenant, pas si vite], il me parle des vacances, me parle de plus tard qu'il y a pensé qu'il envisage des choses qu'il ne peut envisager avec d'autre, les enfants par exemple ... Que pensez ? J'me sens étouffée, trop d'un coup.

C'est bien trop compliqué ces histoires d'amour :

---> soit vous tombez sur le pire des salop possible et inimaginable.

---> soit  vous tombez sur un mec collant et étouffant, un romantique chronique qui vire à l'obscession d'vous mettre sur un pied d'estale à trop vouloir prendre soin d'vous.

Le juste milieu n'éxiste pas ?

Ca n'accroche pas, au début je me suis dis c'est normal, vous vous connaissez pas, il faut du temps, il te dit tout ça, par peur qu'en ne disant rien tu ne t'attaches pas, tu lui as dit il te la confirmé, mais plus les jours passent et plus je vois cette fabuleuse magie s'envoler en poussière, et croyez moi il ne faut pas un mois pour se rendre compte de ça !  JE ne sais pas quoi faire, je ne veux pas le faire souffrir il ne le mérite pas il est adorable, et j'lui ai promis !  En tout cas ce sentiment étrange d'une relation à long terme qui ne marchera que si il y a des efforts me renvoit en septembre 2005 ... Il a des réactions qui me ramène à ces souvenirs ...

Tel hier soir :

- bon je vais te laisser .. .

- A bon ? tu pars ? !

- non

- alors pourquoi ?

- ba j'te dérrange visiblement ...

Oui parce que je ne discuté pas qu'avec lui et que je souriais à la web cam, n'en ai je pas le droit ?

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12 juin 2007

Il est 22h 16 les yeux qui fatigues et le coeur a

Il est 22h 16 les yeux qui fatigues et le coeur a bout de souffle. DEmain premier partiel à l'oral - bou quel horreur - pour le quel je n'ai rien révisé. Mon coeur est a fleur de peau. Il va ni plus ni moins. Mon humeur est à vif. Dès que je suis avec Lui via n'importe quels moyens tous s'efface. Mais lorsqu'il n'est pas là.. Ca va bien boff !

Cette histoire avec M. m'a retournée. Quelle belle garce dans ses faits et ses mots... Comme si tous cela ne suffisait pas, A. qui en rajoute une couche :

A : crois moi qu'effectivementplus je seré loin de toi  mieux je me porteré. et bien ton pb et je ne suis pas la seule a le dire c ke tu tenfonce tte seule. T  un peu trop théorique comme fille. ba écoute quand on aime vraiment quelqu'un on c pardonné, donné... alors si tallé si mal que sa toré évité de lui balancé certaine choses sur le coin du nez

Et aujourd'hui je me connecte et un commentaire, un commentaire de plus en Anonymat pour rien changer, et à dire toujours les mêmes choses  : sa doit être dure d'être une fille comme toi, passer son temps à écrire des textes sans but sans rien dedans, être une fille qui se prend pour une madame qu'elle n'est pas enfin elle n'est pas une madame tout simplement c'est juste une fille qu'a rien à faire et qui écrit comme si elle était au-dessus de tout alors qu'elle fait encore ces études à châteauroux enfin c'est pas de ta faute si tu connais rien à la vie et que tu prétends la connaître de fond en comble... aller on t'en veut pas tu es moche et tu n'y peut rien...
ps: tu es trop belle......... mais nan je rigole faut pas déconer non plus.

Mon humeur vascille, elle est en dent de scie. JE suis comme instable "jean qui rit, jean qui pleure" destabilisé en ce moment. Je ne sais pas pourquoi. . Comme le dit ce commentaire, je ne suis qu'une jeune fille paumée, une pauv' fille qui prend les choses trop à coeur qui n'embrasse pas n'importe qui, ne se 'boure pas la gueule' et surtout ne fais pas comme les autres mais comme elle même !

Ce soir une dispute, mon silence est aussi peinble pour l'une comme pour l'autre "non tu ne sais pas" oui ca ma fais mal, je ne sais pas ? oui c'est vrai je ne vis pas votre histoire, mais je suis a vos coté depuis quelque temps déjà j'ai vécu des hauts et des bas alors je pense savoir malgré tout. Cette façon de me rejetter en voulant dire viens à moi j'ai besoin de toi m'a touchée ! Cette phrase reste poignant.

PAs de nouvelles, bonnes nouvelles... Je l'attends, viendra t il ? sans doute ... peut etre !

12 juin 2007

Les jours passent et j'en veux de plus en plus.

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Les jours passent et j'en veux de plus en plus. Il y a des choix difficiles dans la vie que l'on ne peut pas mettre de côté. J'en ai fait un hier. Pourtant tu as bien vu mon amour qu'il ne l'était pas pour moi. Que préférer ? La sécurité de savoir que je ne m'attacherais plus à toi, ou l'aventure de celle d'être à tes côtés, sans savoir où l'on va. Hier, on s'est retrouvé, via un écran mais quel bien, quel soulagement de te parler, de te voir, de te regarder sourir... Tu m'a demandé de te parler de moi, je t'ai répondu que je ne savais trop quoi te dire ... et puis de but en blanc tu m'as demandé l'adresse de mon blog. Je ne voulais pas, non pas te la donner, mais que tu apprennes les choses au travers une page blanche griffonée de mots ! Alors tu as eu cette inquiétude d'y découvre ce lui d'avant avec moi et non, non ... Après insistance, j'ai cédé, la pression était là au fond de moi j'avais besoin de t'en parler. Je savais que je le regretterai de te le dire mais aussi de ne pas t'en parler. Une fois de plus le stress, la peur d'avant est ressortie. tu as réagis comme un amour. Tu as eu une réaction des plus formidable et dite 'normal'. Je me suis couchée après t'avoir eu au téléphone sereine. Et puis aujourd'hui plus la journée passée, plus je commence à m'inquiéter. JE ne voulais pas me poser tant de questions mais c'est trop tard. Comment réagit tu aujourd'hui face à ses révélations ? es tu toujours aussi compréhensif ? y a t'il toujours cette magie ?

C'est dingue, tout de même notre histoire ce resume à un contact téléphonique pour le moment mais tellement de liens qui se créés déjà. Que dès lors je tiens à toi... Et oui j'm'attache, vite... Mais comme je te l'ai avoué hier soir... Non, rien ne change, tout va en s'accentuant, si tu savais depuis combien de temps j'ai attendu cela, toi, mon moi au masculin, un nous comme je le souhaite... Je pourrais presque te dire c'est deux mots, ces deux mots qui me sont tellement difficile à dire. Qu'il faut me les arracher de la bouche pour que je les craches habituellement...

Mon lou je tiens à toi, à ce Nous si fragile ... Consolidons le ...

Some News :

J'attend les soldes avec impatience. Peut etre irais je les faire à T...

Je me suis lavée les cheveux et ca va mieux, j'aime mieux, j'accepte d'avantage. Comme me l'a dis mon amoureux, ca te vieilli :-s

Il me tarde d'être Jeudi !

11 juin 2007

Lundi 11 juin 2007

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Me revoilà ... je sais que j'ai manqué à mes plus fidèl(e)s lecteurs / lectrices. Alors après quelques jours d'abscence je reviens vers vous, vous donner des nouvelles. Je reviens déverser mes maux en mots vers mon blogounet qui absorbe tous cela sans rien dire. Aucune fuite de sa part.

J'ai eu un week end bien chargé. Samedi matin coiffeur : rendez vous à 9 h 00, sortie à 11 h 45. Je rentre manger rapidement, et à 13h j'embauche jusqu'à 20h.

Dimanche ... direction les bureaux de votes, et oui je suis une bonne Citoyenne, même si j'y suis aller pour y'aller parce que je vous avouerais que ces bonhommes je ne les connais absolument pas.  Et enfin le BAPTEME du diablotin. Je suis officiellement sa marraine

J'ai eu mon amoureux au téléphone 10minutes hier soir, il rentrais chez lui. Aujourd'hui reprise du taff.

Les demoiselles ont fini par montrer le bout de leur nez... enfin... mais bon je ne suis pas totalement sereine... La tête me tourne elles ne sont pas comme à leur habitude...

Humeur du moment ? pfff ...  Fatigué, pleine d'appréhensions, de peur, anxieuse... et en colère.

---> Colère : ma coupe de cheveux est affreuse ca ne me plait absolument pas.  Un carré, bref c'est affreux ! Demain moment de vérité je les lavent.

---> Fatiguée : je me coche tard, lève tôt ajouté au taff, c'est pas tip top.

---> et le reste : c'est un conflit avec Maman - c'est Lui, ce nous qui me rend heureuse et peureuse à la fois; et si toutes ces choses dites étaient comme les fois précédentes  ? JE ne sais pas, il semble si entier, tellement comme moi ...

Je le vois jeudi ... pour une journée et demi de nous !

7 juin 2007

Pression, larmes : une Amitié oui !

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Journée plus qu'angoissante.

14 h 30 rendez vous à la pharmacie, vous étiez beaucoup plus stressée que moi ça se sentais au rythme sacadé de votre respiration

- Ca va ?

- oui oui ca va ! (avec le sourire comme d'hab)

Ce tube là exposé sur la table. Nous à lire le mode d'emploi... Déjà je sentais la pression montée, la gorge nouée ... Nous tentions tant bien que mal à comprendre ce charabia... Bon allez je me lance [ Je m'étais contenu jusqu'ici ] Et là les mains qui commencent à trembler, je referme le tube. Mon coeur bat à plus de 300 à l'heure, l'estomac en vrac, la gorge nouée. LA fenêtre du milieu à surveiller. Elle devenait ROSE. Je me sent mal, mes jambes sont cotton.

- Tout est rose au début ?

- Oui, Oui ne t'inquiète pas. Il faut attendre 4minutes.

Quatres minutes qu'est ce que c'est ? LEs quatres plus longues minutes que j'ai connus. Et là ça blanchit. Sans doute comme mon visage. La pression relâche. J'éclate en sanglot. Larmes de peur qui s'envolent ? ou larmes de joie j'en sais fichtre rien. Fallait que ca sorte. Pire qu'une bombe à retardement.

C'est vrai qu'une maman ne se remplace pas... Une grande soeur j'en ai pas... Vous êtes un mélange de tous ça. Merci d'être et d'avoir été là... MERCI... Il y a ce quelque chose que j'appeleré 'atomes crochus' voire plus 'complicité' qui nous lie et que jusqu'à présent je n'avais pas, pas comme ça...

Un je ne sais quoi qui me fait m'attacher encore plus ...

...Et même pour tout l'or du monde je ne le laisserai filer...

*Fin juillet on remet ça ... un autre mauvais moment à passer ! un autre test !

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7 juin 2007

J'ai mal, mal ... vous savez je ne sais pas

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J'ai mal, mal ... vous savez je ne sais pas comment je fais pour passé d'un état stationnaire à un autre. Tant de choses compliquées à gérer, tant d'inquiétudes et pourtant chaques jours c'est comme si ces soucis devenaient futilité et s'envoler telle de jolies papilllons. Dotés de la même espérance de vie. JE pleur, je crache et vomi ces fichus larmes. Je m'éffrondre. JE ne suis pas celle qui va mal. Non non non j'ai pas le droit d'aller mal je me l'interdit. Moi je suis celle qui aide, qui écoute, qui réconforte comme elle peut pas celle pour qui l'on doit s'inquiéter. Dieu sait que ses mots, qu'un malheureux bip ou même d'entendre sa voix  comme hier soir me font du bien et c'est ce qui me fait tenir et aller bien...

Mais aujourd'hui je craque, pourquoi ?  je ne sais pas. Je ne sais trop. J'ai simplement les yeux et le coeur noyés de souffrance. Laquelle? bé j'en sais rien. Un sentiment d'avoir gaché mon année d'étude ? de rater ce que j'entreprend ? Ne pas être certaine de pouvoir réussir en septembre ? Ce Lui que je n'ai pas envie de perdre. De belles paroles, des mots doux, des promesses, un beau chemin qui se trace ... Et si, oui si c'était comme les autres fois ? Si j'étais une fois de plus le dindon de la farce ? Si je donnais encore Coeur et Ame et rien en retour ? Si je m'attachais encore si vite et que ce ne soit pas réciproque ...

Angoisses, peur, appréhension, stress, incertitudes ... C'est ce qui rythme mon coeur, mon coeur en perdition. En mal de quelque chose mais quoi  ?

*Tous ca ne me ressemble pas.

6 juin 2007

La vie est faite de peu de choses. Des habitudes,

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La vie est faite de peu de choses. Des habitudes, des gens, des sentiments. Et c'est avec cela que chacun se construit, à sa manière. Certains se foutent en l'air, jouent avec les interdits, dépassent des limites qu'ils n'ont jamais connu. D'autres vivent plus raisonablement, affrontent les épreuves avec les forces qu'ils possèdent sans les surestimer, aspirent à des choses réalistes. Oui, chacun a son art de vivre, ses propres rêves, sa liberté d'agir.

J'aurais tellement voulu une autre destinée, une plus belle que celle-ci, autant ne pas vous mentir. Vous devez le voir si clairement dans mes yeux, comme si j'y avais mis toute la transparence possible. Cela aurait été si simple d'avoir le choix, d'appuyer sur un banal bouton " valider ". D'un certain côté la vie c'est ça, on essaie, et puis quand on aime pas on jette. Peut importe à ce que l'on a affaire. On garde de moins en moins de scrupules à remplacer ce qui est usé, à effacer ce qui nous importune. J'ai cette conviction d'avoir échoué dans ma vie. Avec les autres, avec moi. Je me suis peu à peu détachée de ce qui m'entourait, je me suis imposée une certaine distance, comme si je voulais me rendre complètement inaccessible. Je suis si sûre de ce que je suis. Mais le sais-je réellement ? Je me résigne à un autoportrait ponctué de défauts, pourquoi le vérifier ? Je ne sais pas si je deviens quelqu'un de pourri ou de bien, très franchement. Je doute beaucoup trop, alors qu'une solide détermination m'anime. Mes rêves, mes envies, et mes souhaits sont pourtant réalistes. Mais je me pose des barrières volontairement. Faire des projets ? Rêver un peu ? Croire en l'avenir ? N'y pensez même pas, je ne peux pas, ou je ne me l'autorise pas. J'ai trop peur de l'échec. Pourtant je m'y dirige, paradoxalement. J'aurais aimé vivre simplement. Regarder les autres en faire de même. Et ne rien dire. La réalité est toute autre, je privilégie la complexité à la simplicité. J'emmerde le monde pour me sentir exister. J'ai l'impression d'être si vide. J'aurais voulu être une de ces filles équilibrées, généreuses et simple. J'ai choisi l'égoïsme, la superficialité, et la dureté. J'ai honte de moi, honte de ne pas répondre à un je t'aime, honte d'en exiger autant pour n'être qu'à demi-satisfaite. Je fais souffrir les autres par mécontement, par vengeance. Un infantilage de plus. J'en ai tellement voulu à certaines personnes. De ne pas être là quand j'en ai besoin, de m'avoir mise de côté, voir même délaissée. j'ai tellement besoin de vous. J'ai des cases vides, un manque qui jamais ne sera comblé. J'ai une angoisse tellement démeusuré plus le temps passe, plus ce ? devient obstinant. J'me suis lancée à la course aux sentiments, aimes moi plus que ta vie et je serais heureuse. Mais fais le bien. Car c'est à ça que je m'accroche désespéremment, que j'y trouve ma force. . .

Le temps passe avec insouciance, j'ai fait la connaissance de mon Lui, je vis dans le but d'être avec lui, le retrouver, le revoir. Ca peps' mes journées. L'après midi, le boulot occupe mes pensées. Seulement le temps passe, il passe bien vite. Les dates approche. Demain, journée angoissante. Je vais commencer par faire le test, celui qu'on achète en pharmacie. Négatif ou Positif on me conseille de faire une prise de sang... Allez au planing familial, c'est où ça ? Je suis paumée. Me laissai pas  seule ! Pourquoi cette épreuve ?  Pourquoi autant d'insouciance et d'inconscience de ma part ?  Pourquoi moi ? il me manquait plus que cela ...  Mon dieu ...

Et si il s'avère que ce soit positif ? Une seule et UNIQUE solution ... c'est certain. J'en veux pas et j'l'aime pas si et seulement si il existe... Mais si vous saviez combien je donnerai pour éviter cette épreuve. Et surtout, tous ce que je ferais pour effacer et revenir en arrière... 

Ensemble ou séparés, je crois que de toute évidence c'est une épreuve que l'on vit à deux. 

Or là je suis seule. 

Seule à affronter cela. 

Seule à subir ça.

Et seule à devoir gérer ça.

Parce que lui se décharge de toute souciance et responsabilité. Et dieu sait que même avce une haine extrême  à aucun moment je ne l'ai rendu plus coupable que moi. On a beau être entouré, de toute évidence on se sent seule. Uniquement l'autre personne concernée peut nous épauler comme on en a le besoin...

Mais c'est l'odeur de la trahison, de la déception qui m'a abattu, en plein coeur. Aujourd'hui j'ai tout enlevé, mes murs sont vides de souvenirs. J'ai rangé toutes ces photos dans une jolie boite, il fallait qu'elle soit à la hauteur de son contenu. Peut être qu'un jour je l'ouvrirais à nouveau, peut être. Pourquoi revenir vainement sur le passé ? Le présent est bien plus important, puisque c'est ici que tout se joue. Toi, et moi.

Aujourd'hui plusieurs bip, un sms de mon "amour" merci ... je ne t'es pas répondu ... sans doute le ferais je !

Et voila ce soir, ce sont les nerfs qui lâche, envi de pleurer je ne sais trop pour quoi, si cette angoisse, cette peur cette appréhension qui me ronge et que j'avais rangé dans le tiroir oubliette jusqu'à présent ...

Et mon lui doit il savoir tout ca ? j'aimerai tellement qu'il soit près de moi...

5 juin 2007

Hier soirée riche en émotions. Une journée de

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Hier soirée riche en émotions. Une journée de taff fatiguante mais agréable. Le seul point négatif c'est que je commence à trouver le temps long en milieu d'aprèm'. Merci de m'avoir écouté comme vous l'avez fait.. Un sujet en entrainant un autre, au fur et a mesure que le temps passe mon image à vos yeux est de moins en moins floue. Malgré cette panique j'ai réussi a dormir. OUI. J'ai eu deux bips dans la journée et je lui ai envoyé un SMS à mon couché ... Ni bip, Ni SMS...

J'me suis pourtant réveillée en pleine nuit . Je suis fatiguée en ce moment. Je récupère pas. J'me couche tard et me lève tot , c'est un fait. Plus le taff par dessus... Ou alors autre chose ? [!] Je les attends au quivive. Jamais jusqu'à présent je fus SI préssée... Mais RIEN, le néant le plus complet. Je stress, j'angoisse ça n'arrange certes rien... Tête qui tourne, renvois, chaleur, manque abscence d'apétit.

L'esprit occupé, ça va mieux. J'ai eu de quoi faire cet après midi? Il y a des clients tellement sympathiques... et d'autres pffff...  Casse bonbon ! 19 h 00 : je débauche, enfin ... Bien mérité je crois... J'ai pas arrêté une seconde. L'orage a retenti dans l'après midi... Aucune nouvelle, de mon Lui. Et je n'en donnerais pas, c'est certain !!! Et puis ce soir encore, on c'est retrouvées toutes les deux. Au début à papoter de choses et d'autres et comme d'hab' on finit par  se confier l'une à l'autre. A lheure qu'il est vous n'êtes pas seule. En compagnie de celui qui fait battre votre coeur . Peut être même vous êtes vous  décidez à lui parler.

Merci de m'avoir appelé. Merci  d'être là. Merci de m'écouter, me réconforter... Merci d'avance pour votre présence jeudi ...

Tout simplement MERCI.

J'ai l'esprit encombré. Même si au fond de moi je sais que ce n'est pas possible. Ca me bouffe. Même si je sais que... j'ai le doute qui me ronge...  Je vois le pire, j'envisage cette situation... Mon Dieu...

Et toujours aucune nouvelle ...

A demain ...

Ps: Vous m'avez envoyé un sms me disant que vous aviez parlé je suis contente pour vous. Mon lui viens de me bipé, 1er signe de vie depuis hier les 17h passés ... il peut toujours attendre pour que je réponde pour le moment ... !

5 juin 2007

une confiance trahie...

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La vie persiste à nous faire croire que le pire n'arrive toujours qu'aux autres, et qu'elle prend soin de nous laisser le meilleur - le psedo meilleur. Faut-il considérer ce fait comme étant un coup bas de sa part, ou tout simpletement la fragilité de l'homme enfouie au plus profond de lui même ? Sans doute un peu des deux. Qui ne n'a jamais voulu rendre les armes devant la plus dure des souffrances ? Tant de fois je me suis retrouvée involontairement dans ce film. Aux images cinglantes et amères. Mon histoire est ponctuée d'espaces vides et de ratures devant l'instabilité de mon existence. J'y ai mélangé le ton de la tragédie grecque aux doux contes qui bercent notre enfance. Malgré cela, ma vie ressemble plus ou moins à la votre, comme tout le monde. Mais à quelques détails près. Je ne mesure qu'un mètre soixante-trois malgré mes dix-neuf ans, j'ai les yeux bleus, mes cheveux sont entre deux longueurs. J'avais oublié à quel point une moindre chose, une quelconque personne pouvait me bouleverser. Toi du haut de tes un mètre soixante-six peu de choses nous sépare...

On se dit souvent que chacun d'entre nous a toutes les cartes en main pour diriger sa vie, à sa guise. Que rien, ni personne possède la capacité d'entraver le moindre de nos choix, de nos idées. Pourtant, qui est vraiment maître de son existence ? En a t'on vraiment le pouvoir ? Les possiblilités dépendent de la liberté que l'on accorde à soi et aux autres d'interférer dans notre vie, nos projets et nos réactions. Alors forcemment j'ai le droit d'être déçue et irritée de certaines personnes, de certains actes dont je ne saisis ni le sens, ni le but. Les temps changent, et le reste avec. Plus ou moins heureusement, malgré de nombreuses désillusions. 

Je ne passe pas une journée sans penser à Lui... plus que quelques jours avant de le retrouver... Enfin !

4 juin 2007

L'interrupteur se tourne et la nuit s'écroule sur

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L'interrupteur se tourne et la nuit s'écroule sur le jour. Les étoiles arrivent peu à peu telle une poussière qu'on effrite doucement entre ses doigts, mais on ne peut que les apercevoir, les nuages se déjouant de nous.
On dirait de grosse bulles voletant un peu partout et nous narguant, l'air de dire « Ouais, nous on détient la liberté. »
Il y a tant de mots qu'on voudrait beaux et forts, qu'on sait si bien taire à défaut de parvenir à les écrire. Alors ici sera comme un grand brouillon de tout ce que je voudrais savoir te dire. Toutes ces exactitudes, cette foule de détails qui, sortis de leur temps ne sont plus que broutilles, broutilles chères à mon coeur, coeur qui va un peu cahin cahan mais va et c'est déjà ça...
Je voudrais réussir à te dire dans toute la beauté que cela comporte, comme je me cherche et m'égare. Ces détours et déroutes me plaisent.

J'ai juste envie de te retenir. Là avec moi. Comme une égoîste. Je veux te retenir dans ma bulle, dans mon monde salé. J'aimerai te garder prêt de mon coeur serré. Je m'éloignerai bien de tous ce qui m'entoure. Sauf de toi. Je veux garder ta main dans la mienne. Que jamais tes doigts se décollent. J'aimerai que tu me serre aussi fort que possible, que j'inspire une dernière fois. Pour rester là dans tes bras. Je te retiendrai par le frolement de ma main sur ta peau. Et quand on se dit que le réveil auprès de toi est le plus beau des matins. J'ai juste envie de rester là à t'écouter respirer. Ne rien faire, ne plus bouger. Rester là a caresser des yeux toutes les particules de ta peau, de tes cheveux, de tes yeux. Me dire que mon bonheur est le plus heureux.

Je te veux juste.

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